De nouvelles images dénoncent l’horreur dans un élevage intensif de cochons à Pouldreuzic (29). Les animaux sont forcés de vivre dans une exploitation insalubre, au milieu de cadavres en putréfaction. La Fondation 30 Millions d’Amis dénonce ces conditions de vie terribles !
Vidéo de L214 dénonçant l'élevage intensif de cochons à Pouldreuzic.
Après les abattoirs, les élevages ! L’association L214 lance une nouvelle fois l’alerte avec une vidéo choc filmée dans un élevage intensif de cochons à Pouldreuzic, dans le Finistère (16/03/2017).
On y voit des animaux obligés de vivre dans des bâtiments insalubres… Ils côtoient aussi les cadavres de leurs congénères en putréfaction et des ossements qui n’ont toujours pas été retirés par l’éleveur. « Visiblement, l’éleveur ne se rend que rarement dans cette partie de l’élevage où les animaux sont livrés à eux-mêmes, nourris automatiquement » suppose l’association.
L’état sanitaire déplorable de cet élevage a clairement des conséquences sur la santé des animaux : « Emballages d’antibiotiques périmés, seringues usagées, épaisses couches de poussière et toiles d’araignées... ces conditions sanitaires extrêmes constituent un environnement favorable à l’émergence de maladies pour les animaux » note les lanceurs d’alerte.
Porcelets à l’agonie
Quant aux petits porcelets, certains sont à l’agonie sous les yeux de leurs mères qui ne peuvent même pas se retourner dans leurs cages. Leurs queues sont systématiquement coupées par l’éleveur alors que cette pratique « n’est pourtant pas autorisée de manière systématique mais seulement lorsqu’il existe des preuves de blessures ».
Cet élevage industriel est de taille moyenne : il fait naître et engraisse chaque année des milliers de cochons. Il fait partie du groupe Triskalia, un des plus gros groupements de producteurs de cochons en Bretagne, qui fournit notamment le groupe Bigard-Socopa.
L’élevage intensif en France
En France, 95 % des cochons sont élevés de façon intensive. Ils naissent et grandissent dans des exploitations où ils n’ont jamais l’occasion d’aller à l’extérieur. Les mères sont maintenues dans des cages exiguës où elles peuvent à peine se retourner. Enfin, pour les contraindre à ces conditions de vie particulièrement difficiles et éviter des agressions entre ces animaux poussés à bout, plusieurs mutilations sont régulièrement pratiquées à vif : coupage de la queue dès la naissance, meulage des dents et castration.
L’élevage contrevenant à plusieurs directives européennes et arrêtés français relatifs à la protection des porcs et des animaux d’élevage, l’association L214 a déposé plainte devant le tribunal de grande instance de Quimper pour « mauvais traitements ». La Fondation 30 Millions d’Amis s’est constituée partie civile.
Partagez surFacebook, TwitterouGoogle +.
Abonnez-vous à la newsletter hebdo de la Fondation 30 Millions d'Amis pour recevoir par email actus, actions, conseils et vidéos sur la protection animale.
Les consommateurs, nous devons faire un effort afin de privilégier la consommation de viande en provenance d'elevage digne de ce nom, de donner la priorité aux éleveurs faisant bien leur travail qui respectent le bien-être de l'animal et non de privilégier toujours le moins cher.
je n'appelle pas ça de l'élevage, mais de la barbarie. on copie tout sur les américains qui ne font pas des bonnes chose. dommage. faire de l'élevage autrement sera plus agréable pour tout le monde.
Signer des pétitions c bien, mais ça suffit pas, si le bien être des animaux est important pour vous alors arrétez de manger de la viande, sinon vaut mieux s'abstenir a faire des commentaires car c'est pas ça qui reglera le pbm dans le fond!!!!!!!!!!!
Cet élevage ne va même pas être fermé.... et il a deja été contrôlé ... commence à en avoir marre de payer des impots pour des politiques ou des fonctionnaires qui font pas leur boulot ... je ne sais comment les gens qui savent arrivent à dormir ...
Devenir végétarien - possible, combien des années faudrait -il que nous n’ayant plus besoins de la viande?? Durant cette attente le martyr des animaux continu! Signer les pétitions , c'est bien , en avance ..
REAGIR! demain! au niveau nationale, Fermer ceux lieux de torture, prendre en charges financière et reconversion les employés.
Il y aurait-il un futur président courageux et capables de REAGIR ???
Les élevages non industriels peuvent exister, ayant une approche humaine et les contrôles rigoureuses. Je suis retraité diplômée ingénier-zootechnitien. Mes 200 cochons sortais (par des clapets à leur taille) dans les terrains divisés en 3 selon usure. Les locos de truite gestante avait 20 m 2 avec la paille. Deux employés accompagnais nos animaux à l’abattoir, 1-2 h du trajet. Les camions stationnait devant des grands enclos, dehors en herbe. Ils sortait les animaux, pour qu'ils se décontracte , bois et déstresse. Nous mettions dans leurs boisson un calment affins d’atténuer leurs conscience du danger. Mon employé qualifié les accompagné jusqu'au le dernier. Les élevages ne dépassait pas 200 animaux, nous avions nos terres , nos machines, pour cultiver les légumes pour nos cochons.
Les étourdissements, oui, car il y a une souffrance physique, mais avant ? lors des passages dans les couloirs, (chaque animal comprends à son niveaux, est sensible et maternel), il comprends et entends des cris de détresse et de la mort, voie ses congénères en trais de souffrir, il est horrifiée et traumatisé ! Et LA en s’en FICHE ! En décharge la marchandise et en accéléré au point d' étourdissements.
Un métier où en ne doit pas rester longtemps, il faut changer dans d'autres services. Je n'ai suis resté qu'une année.
J ai honte.honte d être bretonne ,honte d être dans ce pays où tout régresse... ce type qui laisse mourir ses bêtes est en assassin a part entière !! il doit subir le même sort que si il avait tué un humain ! un animal est un être vivant!!!!!!!!!! il doit être respecté !!!\n
zazadu34 28/06/2017 à 18:11:40
c'est horrible! si c'est pour manger des animaux élevés comme ça et qui souffre, je ne veux pas... du cochon, je m'en passerai... :( déçue
roquierdelphine@gmail.com 20/04/2017 à 10:24:57
roquierdelphine@gmail.com 20/04/2017 à 10:24:11
Doreenj 23/03/2017 à 09:49:49
Que dire!!! C'est inadmissible, quelle cruauté
laiko 23/03/2017 à 09:35:35
Les consommateurs, nous devons faire un effort afin de privilégier la consommation de viande en provenance d'elevage digne de ce nom, de donner la priorité aux éleveurs faisant bien leur travail qui respectent le bien-être de l'animal et non de privilégier toujours le moins cher.
pouguy 22/03/2017 à 18:51:21
je n'appelle pas ça de l'élevage, mais de la barbarie. on copie tout sur les américains qui ne font pas des bonnes chose. dommage. faire de l'élevage autrement sera plus agréable pour tout le monde.
cathye 22/03/2017 à 16:19:20
Signer des pétitions c bien, mais ça suffit pas, si le bien être des animaux est important pour vous alors arrétez de manger de la viande, sinon vaut mieux s'abstenir a faire des commentaires car c'est pas ça qui reglera le pbm dans le fond!!!!!!!!!!!
AID 22/03/2017 à 13:08:08
Cet élevage ne va même pas être fermé.... et il a deja été contrôlé ... commence à en avoir marre de payer des impots pour des politiques ou des fonctionnaires qui font pas leur boulot ... je ne sais comment les gens qui savent arrivent à dormir ...
wandjering 21/03/2017 à 20:23:39
REAGIR! demain! au niveau nationale, Fermer ceux lieux de torture, prendre en charges financière et reconversion les employés.
Il y aurait-il un futur président courageux et capables de REAGIR ???
Les élevages non industriels peuvent exister, ayant une approche humaine et les contrôles rigoureuses. Je suis retraité diplômée ingénier-zootechnitien. Mes 200 cochons sortais (par des clapets à leur taille) dans les terrains divisés en 3 selon usure. Les locos de truite gestante avait 20 m 2 avec la paille. Deux employés accompagnais nos animaux à l’abattoir, 1-2 h du trajet. Les camions stationnait devant des grands enclos, dehors en herbe. Ils sortait les animaux, pour qu'ils se décontracte , bois et déstresse. Nous mettions dans leurs boisson un calment affins d’atténuer leurs conscience du danger. Mon employé qualifié les accompagné jusqu'au le dernier. Les élevages ne dépassait pas 200 animaux, nous avions nos terres , nos machines, pour cultiver les légumes pour nos cochons.
Les étourdissements, oui, car il y a une souffrance physique, mais avant ? lors des passages dans les couloirs, (chaque animal comprends à son niveaux, est sensible et maternel), il comprends et entends des cris de détresse et de la mort, voie ses congénères en trais de souffrir, il est horrifiée et traumatisé ! Et LA en s’en FICHE ! En décharge la marchandise et en accéléré au point d' étourdissements.
Un métier où en ne doit pas rester longtemps, il faut changer dans d'autres services. Je n'ai suis resté qu'une année.
Tinie 19/03/2017 à 15:18:16