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Protection

Du loup au crapaud, l'ASPAS fête 30 ans de combat pour la faune sauvage

L'Association pour la protection des animaux sauvages (ASPAS) fête 30 ans de combats pour la nature, depuis la défense du loup dans les années 80 aux crapauds dans le 100e numéro de son magazine "Goupil" de janvier.

PARIS, 1 fév 2010 (AFP) - L'Association pour la protection des animaux sauvages (ASPAS) fête 30 ans de combats pour la nature, depuis la défense du loup dans les années 80 aux crapauds dans le 100e numéro de son magazine "Goupil" de janvier. "Si le loup est aujourd'hui protégé en France, si l'on peut interdire aux chasseurs d'entrer dans sa propriété, si les coccinelles sont utilisées par les jardiniers, c'est en grande partie grâce à l'ASPAS", affirme l'association écologique dans un communiqué publié lundi. L'ASPAS revendique une "totale liberté de ton et d'action vis-à-vis des politiques, des industries et des lobbies". En 30 ans "d'initiatives courageuses et originales" racontées dans un hors série anniversaire, l'ASPAS se réclame de nombreuses actions de sensibilisation pour toute la faune sauvage, à l'instar de la réhabilitation des coccinelles dans les jardins et les parcs en 1992. L'ASPAS, créée en 1980 par un pilote d'hélicoptère, Alain Clément et une championne de natation, Mireille Gendrier, se prévaut du soutien de personnalités aussi diverses que Haroun Tazieff, Laurent Baffie, Brigitte Bardot ou Bernard Clavel. Quatre fois par an, l'association adresse à ses quelque 10.000 adhérents son magazine "Goupil" qui dresse l'inventaire de ses actions en cours.Dans le numéro 100 (janvier) le magazine consacre un large dossier à la protection des amphibiens. Selon l'ASPAS, une espèce sur cinq de ces animaux souvent insectivores qui sont essentiels au bon fonctionnement des écosystèmes et de la biodiversité risque de disparaître en France métropolitaine. L'association a relancé sa campagne de 2009 "protégeons nos amphibiens", dont "la cause de mortalité la plus visible est sans conteste la circulation routière".