Fondation 30 Millions d'Amis

Fondation 30 Millions d'Amis
Faites un donFaire un don

La Ferme des Aubris

La Ferme des Aubris, un havre de paix pour les équidés maltraités ou abandonnés

Le refuge de la Tuilerie

Refuge "la Tuilerie" un havre de paix pour les animaux sortis de l'enfer

 €

Votre don ne vous coûte que
XXX après réduction fiscale

En finir avec les pratiques cruelles

Interdisons la vénerie sous terre 

À l’attention du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires

La vénerie sous terre, méthode barbare d’un autre temps, a été interdite dans de nombreux pays européen mais reste autorisée en France. Chaque année, elle est responsable de la mort de dizaines de milliers de blaireaux et de renards, dans d’atroces souffrances. Pendant la saison de chasse (de mi-septembre à mi-janvier), ces animaux, déjà visés par les tirs des chasseurs, peuvent également être acculés de leur terrier à l’aide de chiens, puis délogés par des pinces métalliques pour être tués à l’arme blanche. Certains départements vont même jusqu’à autoriser, sur décision préfectorale, des périodes complémentaires de déterrage, dès la mi-mai. La justice elle-même a récemment épinglé ce type d’arrêté au motif que les blaireautins tués de mai à septembre sont encore en situation de dépendance vis-à-vis des adultes et doivent, à cet égard, être protégés.

Une pratique d’autant plus incompréhensible que les dégâts imputés aux blaireaux et renards sont marginaux. La plupart des dommages agricoles seraient même causés par des sangliers… pour certains élevés, relâchés et chassés ! Au contraire, ces êtres sensibles seraient même écologiquement utiles. Ainsi, la présence des blaireaux s’avèrerait bénéfique aux cultures en évitant la prolifération des larves de hanneton, des nids de guêpes, des limaces et campagnols. Les goupils régulent également les petits rongeurs qui ravagent les cultures. Un rôle d’autant plus primordial qu’à défaut de prédateur naturel, les agriculteurs luttent contre les proliférations de rongeurs en utilisant de la bromadiolone : un produit chimique très toxique qui empoisonne de nombreux animaux, y compris domestiques. Par ailleurs, les renards ne portent aucunement atteinte à la santé et à la sécurité publiques : ils nettoient la nature des proies malades et freinent la propagation de la maladie de Lyme qui affecte les humains.

Je m’associe à la demande de la Fondation 30 Millions d'Amis d’interdire définitivement, sur l’ensemble du territoire national, le déterrage des blaireaux et des renards, une pratique cruelle d’un autre temps. 

SIGNEZ LA PÉTITION

7130
100000

Signatures

les autres pétitions

En finir avec les pratiques cruelles

Sauvons les galgos

0
500000

En finir avec les pratiques cruelles

Interdisons la vénerie sous terre 

0
100000