C’est une mesure réclamée par les associations de protection animale, dont la Fondation 30 Millions d’Amis, qui a longtemps été repoussée. A partir du mardi 22 mai 2018, la vidéosurveillance sera de nouveau débattue à l’Assemblée nationale, mais en version allégée…
Adoptée, rejetée, réintroduite, supprimée... La vidéosurveillance dans les abattoirs est victime des atermoiements du législateur : malgré la mobilisation des associations de protection animale, dont la Fondation 30 Millions d’Amis, qui ont écrit encore récemment au gouvernement pour exiger la réintroduction de cette mesure phare, et la ténacité du député Olivier Falorni - à l’origine de cet amendement -, son contenu a été revu par rapport au texte initial de 2017. Dans le cadre de la loi EGalim, elle sera (à nouveau !) débattue à l’Assemblée nationale à partir du 22 mai 2018. Malheureusement, l’amendement qui sera présenté n’est pas aussi ferme que celui de 2017 : dans les 6 mois suivant la promulgation de la loi, les abattoirs volontaires se verront proposer de participer à une expérimentation de la vidéosurveillance pendant 2 ans. Un rapport devrait être publié dans la foulée, aux alentours de fin 2020 normalement.A partir du 22 mai 2018, l'Assemblée nationale débattra sur l'expérimentation de la #vidéosurveillance dans les #abattoirs. Êtes-vous pour ou contre cette mesure ?
— 30 Millions d'Amis (@30millionsdamis) 21 mai 2018
Enzo2014 02/12/2018 à 00:00:08
Idrill 22/08/2018 à 22:53:59
rm 20/08/2018 à 12:20:00
rm 20/08/2018 à 12:02:48
UneAmoureuseDesAnimaux2.0 16/06/2018 à 17:26:00
Happy Elisa 09/06/2018 à 09:47:11
mookie 26/05/2018 à 17:01:19
bien pour une videosurveillance quand on voit que des personnes qui pour doivent avoir un probleme psychiatrique pour exercer ce type de boulot ou on fait souffrir a longueur de journée. je préfère etre au chomage que de torturer.
totoml 26/05/2018 à 01:41:33
annecoopens 25/05/2018 à 21:41:28
PATNO 25/05/2018 à 11:11:33