Câliner notre animal augmente notre bien-être... et le sien ! © /Fotolia
Câliner son animal, ça fait du bien ! Il ne fait plus de doute que partager des moments de tendresse avec son animal présente de multiples vertus. À l’occasion de la journée internationale du câlin, 30millionsdamis vous rappelle ces bienfaits.
Retrouvailles festives, léchouilles et bien-sûr câlins : autant de gestes qui, partagés avec notre animal, nous aident à accroître notre bien-être... et le-leur !
Nos 30 millions d’amis nous apportent un soutien sans faille, indispensable à notre quotidien. Il est toujours bon de partager nos moments heureux avec nos fidèles compagnons. La joie qu’ils ressentent en retour ne peux qu’accentuer notre bonheur ! Selon un sondage réalisé en 2018 auprès de 2000 personnes et révélé par The Independant, la cohabitation avec un animal de compagnie multiplie par deux les chances d’être heureux et de rencontrer le succès. 6 personnes sur 10 sont même régulièrement prises d’un fou rire en observant leur animal !
A contrario, en cas de période difficile, les animaux nous calment et nous rassurent. Le réconfort qu’ils nous apportent constitue un véritable soutien. De nombreuses études montrent, à cet égard, qu’entretenir une relation de complicité avec un animal aide à réduire stress et anxiété. Caresser son animal contribue, d’un côté à libérer l’hormone dite de l’attachement - l’ocytocine - et, de l’autre, à réduire l’hormone du stress qu’est le cortisol. En somme, câliner son animal est inexorablement apaisant et bienfaisant !
Si les animaux nous incitent à exercer une activité physique lors des promenades, ils nous assurent tout autant une bonne santé grâce aux câlins ! En stimulant les hormones du bien-être - sérotonine et dopamine - les étreintes permettent de réduire le rythme cardiaque et, corrélativement, le risque de maladies cardiovasculaires. Le pouvoir thérapeutique du chat est particulièrement bien connu : la « ronron thérapie » permet notamment d’abaisser la tension artérielle et, par la même occasion, de réduire les risques de troubles cardiaques et vasculaires.
Pour preuve, une étude suédoise de 2017 menée durant 12 ans auprès de plus de 3,4 millions de Suédois âgés de 40 à 80 ans, sans antécédents cardiovasculaires au lancement de l'opération, a révélé que le risque de décès prématuré ou de déclaration d'une maladie cardiovasculaire était bien inférieur chez les personnes vivant avec un animal de compagnie.
Alors, la « câlinothérapie » est à pratiquer... sans modération !
Emilia324 26/01/2020 à 13:43:02
lotus2003 22/01/2020 à 11:14:31
nathvds 21/01/2020 à 21:56:20