TRONCHET Didier
Rédaction
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Note : 0« J’aurais voulu courir à perdre haleine, tout nu, sans souci de la bienséance. M’endormir sur-le-champ et me réveiller toujours de bonne humeur, être heureux de sortir, heureux de rentrer, ne rien savoir de l’avenir, négliger le passé. J’aurais voulu être fidèle jusqu’à la mort, ne jamais me plaindre, ne rien expliquer. Qu’on lise en permanence dans mes yeux l’amour infini qui passe par moi et auquel rien ne fait obstacle.
La meilleure version de moi-même, c’est mon chien. »