Fondation 30 Millions d'Amis

Fondation 30 Millions d'Amis
Faites un donFaire un don

La Ferme des Aubris

La Ferme des Aubris, un havre de paix pour les équidés maltraités ou abandonnés

Le refuge de la Tuilerie

Refuge "la Tuilerie" un havre de paix pour les animaux sortis de l'enfer

 €

Votre don ne vous coûte que
XXX après réduction fiscale

Protection

Un petit chimpanzé doit naître en direct sur l'internet

Un sanctuaire de primates sud-africain a annoncé mardi qu'il diffuserait en direct la naissance d'un petit chimpanzé sur l'internet, une première mondiale selon lui.

JOHANNESBURG, 15 jan 2013 (AFP) - Un sanctuaire de primates sud-africain a annoncé mardi qu'il diffuserait en direct la naissance d'un petit chimpanzé sur l'internet, une première mondiale selon lui. La branche sud-africaine de l'institut américain Jane Goodall, basée à Nelspruit (nord-est), va diffuser en direct le travail de Nina, une guenon chimpanzée de neuf ans sauvée des chasseurs dans le Sud-Soudan en 2007. Déjà en ligne à l'adresse lite.wildearth.tv/chimp-eden-nina-cam, le site la montre couchée sur des bambous, se grattant ou jouant avec une enveloppe ou une boule rose vif. Elle saute de temps en temps sur des perchoirs autour de sa cage, hors de vue de la caméra.Nina, qui sera une très jeune mère --les chimpanzés se reproduisant généralement lorsqu'elles ont une quinzaine d'années-- devrait donner naissance dans les prochains jours. "Nous ne savons pas si elle va accepter le bébé, car elle a été tragiquement privée d'une enfance normale dans la nature avec sa famille chimpanzé", a expliqué dans un communiqué le sanctuaire, qui sauve et réhabilite des primates victimes de violences. Le sanctuaire a d'ordinaire une stricte politique de non-reproduction, mais la contraception a échoué, a-t-il précisé, notant que le père est sans doute un autre orphelin nommé Thomas. Dans ce même sanctuaire, un chercheur américain de 26 ans avait été attaqué et très grièvement blessé en juillet par deux mâles. Les responsables du parc et le chercheur lui-même avaient admis que la victime avait commis "une erreur" en pénétrant de façon inopportune dans le territoire des chimpanzés. Les deux agresseurs ont été laissés en vie, les experts estimant qu'ils s'étaient sentis menacés et avaient réagi d'une façon "normale" pour des chimpanzés.