Fenvarc'h (SE). " C'est très spécial ce qui se passe là. On n'a pas du tout l'idée de qui pourrait se faire l'auteur d'actes pareils ", souligne l'élu. L'individu agirait toujours selon le même mode opératoire [...] Le dernier fait remonte à mardi. " L'individu aurait profité de l'absence de propriétaires partis faire des courses. À leur retour, ils ont découvert cinq lapins qui gisaient devant leur clapier. Je suppose
ce plan est de " renforcer la présence de l'animal en ville et promouvoir son bien-être " et de " faire de Paris une ville qui accorde toute sa place aux animaux, notamment domestiques ", a expliqué l'adjointe
Malheureusement, la Fondation 30 Millions d’Amis est régulièrement appelée pour intervenir lors de situations exaspérantes et incompréhensibles… Ce fut encore le cas récemment au Bourget, en Seine-Sai
manger, mais durant la journée il disparaît. Depuis hier il accepte de rentrer dans la maison pour se faire câliner et manger. Mais il ne reste pas. ce matin vers 10h00 il était derrière la porte. Nous l’avons
relation si fusionnelle que nous entretenons avec nos compagnons. Le deuil est d’autant plus difficile à faire quand le maître ne trouve pas de lieu pour accueillir les restes de celui qui a partagé sa vie des
Polly est sortie faire son tour dimanche 07/10/18 vers 10h mais n'est jamais revenue depuis. Nous sommes effondrés. C'est une chatte calme de 2 ans, plutôt docile, grise tigrée, perdue autour de Saron-sur-Aube
animaux aura-t-elle le pouvoir de changer la donne ou l’impératif de rentabilité continuera- t-il à faire la loi, en dépit de tous les cris du coeur ? »
Il y a décidément un gros travail de pédagogie à faire dans les grandes et moyennes surfaces ! Deux mois après l’expulsion d’un jeune handicapé moteur et de son chien d’assistance d’un Carrefour à Toulouse
Ils ont aussi leurs petites mamies, comme tous les petits vieux : « iIs ont besoin d’aller souvent faire leurs besoins et ne peuvent manger que si leurs croquettes sont écrasées avec un peu de pâté et de
n’étaient pas socialisés. Interrogé, le propriétaire des animaux affirmait « qu’il était normal de les faire vivre dans ces conditions », mais que leur confiscation par la Fondation 30 Millions d’Amis lui «