[vaches n'ayant pas encore eu de veau] gestantes, principalement vers l'Asie centrale et occidentale, comme l'Ouzbékistan et le Kazakhstan, où les trajets peuvent atteindre 6.000 km et durer jusqu'à trois semaines
devenir un danger pour les habitants de la région et pour la survie des espèces animales indigènes, comme les lamantins et les capybaras (petits mammifères herbivores rongeurs). Des animaux dont la personnalité
2009. Elles ne peuvent être autorisées qu’en l’absence d’autre moyen de capturer l’espèce visée. Or, comme le rappelle le juge administratif, « des solutions alternatives satisfaisantes existent : la chasse
en revue la condition des animaux, qu’ils soient domestiques, de compagnie, de loisirs ou sauvages comme le loup, l’ours, le lynx ou l’éléphant… et touche, l’élevage, la pêche, la chasse, la corrida, les
ont interdit la consommation de chiens et de chats , les considérant alors comme des animaux dits « de compagnie » et non comme du bétail. Mais en termes de sanctions, aucune loi nationale en Chine ne prévoit [...] ces félins devaient être expédiés dans la région de Guangdong, au sud du pays, afin d’être vendus comme de la viande de porc, de mouton ou de bovin pour la consommation. Un tour de passe-passe financier
de braconnage ne sont que rarement identifiés , y compris en cas de destruction illégale avérée, comme dans l’affaire Sofia. « S’agissant de faits se produisant en pleine nature, le plus souvent sans témoins
état d’ébriété au moment des faits. Il aurait attaché le félin à l’aide d’une ficelle et circulait comme si de rien n’était. Du moins, jusqu’au moment où il a été cueilli par la police nationale près du
bases scientifiques », regrette l’ASPAS. En effet, le Conseil national de protection de la nature a (comme souvent à propos des projets de texte qui heurtent la protection de la faune sauvage) émis un avis
et 600 nouvelles décrites chaque année en majorité en Outre-mer, le pays est loin d’être épargné, comme en témoigne la disparition ou la menace de certaines espèces. C’est le cas notamment des chauves-souris
lien extraordinaire et unique qui unit l’Homme et l’animal. « Cette reconnaissance du lien affectif comme liberté fondamentale va obliger l’administration a plus de précaution dans les mesures d’euthanasie