poules élevées en batterie avant qu'elles ne partent à l'abattoir, les soigne et va même jusqu'à leur faire confectionner des petits pulls par des mamies bénévoles, le temps que les plumes repoussent ! Après
écran est à la fois très particulier et très émouvant. C’est surtout une occasion extraordinaire de faire connaître l’histoire des bonobos au public français, et je l’espère, au public étranger, afin que
assistées par l'animal gagnent progressivement du terrain, il reste encore beaucoup de progrès à faire, notamment en termes de formation des intervenants, bénévoles ou professionnels. Il doit y avoir davantage
Alors que l’article 521-1 de notre code pénal précise qu’« un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros
prêts à effectuer les Delanes : « Mais la Direction départementale et territoriale refuse de nous faire remplir le dossier , dénonce Anna-Paule. Nous n’avons pourtant qu’un souhait, être dans la légalité
cage, déplore l’organisation. Ce recul n’est pas conforme (…) à la nécessité d’une action forte pour faire basculer l’ensemble de la production ». Par cette interprétation restrictive de la loi Egalim, le [...] pondeuses – envoyées à l'abattoir à l'âge de 18 mois – des bénévoles au grand cœur proposent de les faire adopter par des particuliers, tous conquis par l'intelligence de ces êtres sensibles.
ou envers un animal sauvage lorsqu'il est apprivoisé ou tenu en captivité. Il est donc légal de faire souffrir les animaux sauvages vivant à l’état de liberté naturelle, les auteurs de maltraitance à [...] n'étant pas punissables. Je m'associe donc à la démarche de la Fondation 30 Millions d'Amis visant à faire évoluer le Code pénal afin qu’il prenne désormais en considération tous les animaux, sans distinction [...] sauvages vivant à l'état de liberté naturelle étant également des êtres sensibles, ils ne peuvent faire l'objet, sous quelque prétexte que ce soit, de sévices graves ou d'actes de cruauté. Les sévices graves
la porte s’ouvre au lieu d’utiliser sa chatière ? Comment l’empêcher de faire ses griffes sur le canapé ? Pourquoi va-t-il faire ses besoins dans le jardin du voisin plutôt que dans son bac à litière
mangé de la viande pendant toute ma vie et, un jour, d’avoir décidé d’arrêter irrévocablement de le faire. » Ainsi débute ce court texte de Marcela Iacub, oscillant entre récit autobiographique et essai
poils, à cornes, regards craquants, moments câlins... Plus de 300 belles photographies d’animaux à faire découvrir aux tout-petits. A partir de 2 ans.