puissent « accéder en permanence à une quantité suffisante de matériaux permettant des activités de recherche et de manipulation suffisantes, tels que la paille, le foin, la sciure de bois, le compost de c
appelle les “pince sans rire” » , confie Florence Burgat, Docteure en philosophie et Directrice de recherche à l’INRA. Et les animaux n’y échappent pas ! Bons acteurs, les animaux manient bien l’humour ! «
éducatives est loin d’avoir diminué. Aux 11,5 millions d’animaux utilisés chaque année pour la recherche et l’éducation dans l’Union européenne, s’ajoutent les 12 millions d’animaux élevés et tués sans
ables, notamment l’américain Facebook/Instagram et le chinois Weibo, mais aussi des moteurs de recherche, à l’instar du mastodonte Google et du chinois Baidu… Et bien sûr, des sites d’e-commerce, tels
mis le feu à un des quatre bûchers. Jusqu'à 1000 dollars le kg " L'écaille de pangolin est très recherchée dans la médecine traditionnelle chinoise (...) et au Vietnam notamment. En Asie, le prix peut aller
de la Pêche et de l'Environnement de 22 Etats membres pour " les exhorter à collaborer dans la recherche d'une solution à cette situation ". M. Sinkevicius a par ailleurs demandé au Conseil international
coloration », ou encore, « gel coiffant à paillettes » peuvent être procurés sur internet… Le but recherché ? « Le plaisir d’avoir un chien toujours fashion » selon l’un des sites de vente en ligne. Des
conflits auxquels ils sont souvent confrontés lorsqu'ils migrent sur de longues distances à la recherche de nourriture et d'un abri. » « Un élan formidable se dessine en faveur de la protection de cette
appelant à une " campagne de sensibilisation dans les régions côtières pour protéger les lamantins ". Recherché pour sa viande, son huile et ses organes " Il est triste que les lamantins restent l'un des mammifères [...] que la chasse au lamantin soit interdite au Nigeria, elle demeure pratiquée, ce mammifère étant recherché pour sa viande, son huile et ses organes, utilisés dans la médecine traditionnelle. La pauvreté
Doubs qui ont suspendu - jusqu’en juin 2020 - les opérations de destruction du renard. L’objectif recherché n’était toutefois pas de protéger l’animal pour lui-même mais de favoriser la prédation exercée