entraîné la disparition, en 40 ans, de plus de la moitié des animaux sauvages de la planète, selon le constat brutal du rapport Planète Vivante 2014 de l'ONG, publié fin septembre.
l'adresse de ces cinq fermes aux méthodes peu conformes afin d'y envoyer des vétérinaires pour constater la situation et venir en aide aux renards. Signez notre pétition Alors que plus de 56 millions d’animaux
succombent en Louisiane (5/1/11). En Suède puis au Japon, des faits similaires sont parallèlement constatés. Et les oiseaux ne sont pas les seules victimes : deux millions de poissons morts dans la baie de [...] » n’ont rien d’un phénomène isolé. Des faits identiques en mer ou en zone non habitée ont été constatés, « mais on ne dispose d’aucune donnée précise sur leur nombre ou leur régularité », indique Nicolas [...] journal américain The Examiner vient toutefois de révéler (23/1/11) que la mort des 200 étourneaux, constatés dans le Dakota au début de l’année, avait été provoquée sciemment par empoisonnement. L’USDA (le
études britanniques, il n’y aura plus de hérissons en 2025 outre-Manche », s’inquiète Anne Fingar. Un constat alarmant qui demeure, bien que le hérisson bénéficie du statut d’espèce protégée par la Convention
laineux, du titi des Andes ou de l’atèle, appelé aussi singe araignée. A l’origine de ce triste constat, la destruction des habitats naturels, le trafic d’animaux, et le peu de moyens dont disposent les
sur ses pattes. Il pèse 14 kilos alors qu’il devrait en faire plus du double… Le vétérinaire a pu constater son état sanitaire : en plus d’être cachectique, « il a de nombreuses dépilations et des griffures
retirés par la Fondation en présence de la police nationale (14/07/2017). Puces, otite, gale… Le constat vétérinaire est sans appel : les animaux extrêmement maigres souffrent de plusieurs maladies. Ils
abandonnés en pleine nature par des personnes peu enclines à prendre soin de l’environnement. C’est en constatant cet amas de déchets qu’ Amarildo Silva (24 ans) a pris la décision, il y a deux ans, d’agir. «
ne relevant aucun motif de passer à l’acte contre ces chats. En revanche, une seconde expertise a constaté une « dangerosité sociale avérée ». Mais cela n’a pas semblé suffire pour placer l’individu en détention
temps glacial, était amaigri et avait le fémur brisé. Amené immédiatement chez un vétérinaire qui a constaté qu'il n'avait pas de puce d'identification, Ollie a pu être opéré grâce à des dons. « Il attendait