garage-automobile, mais aussi, « Brandy », un Saint-Bernard d’un an et demi qui vivait dehors, sans eau ni nourriture, ou encore, Uvayante – 1 an – qui n’avait rien connu d’autre que l’obscurité d’une salle
encombrants dans laquelle elle a été jetée comme un vieux tapis élimé, une peau d’ours sans griffes ni tête, le narrateur, mû par un irrépressible élan fraternel, la recueille. Se doute-t-il qu’en adoptant
tion locale chargée du bien-être animal vérifie, sur place, l'état de santé du jeune animal. Ni blessé, ni traumatisé, bien nourri et hydraté, le petit goupil a visiblement perdu sa maman. Sur les conseils
et un chien (Spirou qui a également été adopté) ont subi des mauvais traitements. Ils n’avaient ni eau, ni nourriture à leur disposition. « Quand nous avons mis une gamelle d’eau, ils se sont jetés dessus
dans une « cour fermée ». Il était « dans la boue, au milieu des excréments » et n’avait « ni nourriture, ni d’eau à disposition ». Son panier était « à moitié cassé » et « sans couverture ». « Très maigre
commissaire. Un jour, on nous a déposé un petit chaton d’environ deux mois et demi, pas pucé, sans collier ni rien pour l’identifier. Quand mes collègues m’ont demandé si nous pouvions la garder, j’ai dit "Oui"
Les autres vivaient entassés, au milieu de leurs déjections ». Livrés à eux-mêmes, ils n’avaient ni eau ni nourriture. « Les pauvres étaient très maigres ; ils mouraient de faim et de soif , confirme l’
enquêteurs ont sorti 7 chiens de l’enfer : enfermés dans un cagibi, ils étaient livrés à eux-mêmes sans eau ni nourriture depuis plusieurs jours. Actuellement choyés au refuge, tous attendent une famille aimante
Bien sûr, c’est un vaste sujet et il n’est pas ici question d’essayer d’en aborder tous les contours ni de parler de la situation de tous les animaux. Par courts chapitres, le lecteur se rendra au Centre
: s'ils ont bien manipulé les outils, pas un seul n'a daigné s'en servir pour accéder à sa pitance, ni même tenté le coup. Invalidant ainsi l'hypothèse d'un usage spontané. Les jeunes chimpanzés regardent