sauvage. Heureusement, il est facile de les éviter. Voici un tour d’horizon des bonnes pratiques à adopter pour préserver la biodiversité. 1. Un juvénile trouvé au sol n'est pas forcément en détresse Lorsqu’un

de se voir offrir une retraite dans une famille. Pourtant, Geneviève, une retraitée, cherchait à adopter un animal dans le besoin : « Mon mari est décédé il y a deux ans , raconte-t-elle à 30millionsdamis [...] a disparu. Ça m ’ a fait très mal au cœur. Il y a peu, nous sommes allés au refuge avec l’idée d’adopter une chatte tranquille. Et là, je tombe sur Eden… Elle me plaisait bien, elle était si belle malgré

plus vite si vous trouvez un animal blessé : chaque minute compte vu leur état . » Particuliers, adoptez les bons gestes ! Si vous croisez un oiseau en détresse (une situation malheureusement fort probable

d'ailleurs choisi d'honorer le centenaire de la naissance de cet akita blanc, né le 10 novembre 1923. Adopté en 1924 par Hidesaburo Ueno, professeur dans une université de Tokyo.Régulièrement, l'animal attend

CHUTNEY a été adopté en juin 2023. Malheureusement, sa famille ne se sentait pas prête pour le travail de socialisation. Il a donc été prise en charge le 15 novembre 2023 par une famille d'accueil. Il

inséparables » ! Sandrine, qui confirme avoir véritablement « craqué » pour le jeune chien, a décidé de l’adopter. Hatchi a donc désormais le bonheur de vivre dans un nouveau foyer, choyé par la bénévole qui l’a

reçoit une petite friandise, ça passe plus facilement ! » Olga est d’ores et déjà candidate à une adoption responsable.

présent, un signal négatif fort de la place que notre pays accorde aux grands prédateurs au moment de l’adoption de la nouvelle stratégie pour la biodiversité. » Il en va de même s’agissant du projet d’arrêté

Suko est un grand sensible au cœur tendre. Le contact humain le met encore en difficulté, et la main qui s’approche le fait fuir – sauf si elle tient une friandise ! Très gourmand, il se laisse amadou

aurait-il enfin compris l’urgence d’agir ? C’est ce que laisse présager la loi dite « Bien vieillir » adoptée en première lecture par l’Assemblée nationale le 23 novembre 2023. L’un de ses amendements prévoit