internationale publiée mercredi par la Public Library of Science (PLoS). "Bien que les températures aient peu augmenté récemment, il est surprenant de réaliser à quel point l'impact est déjà visible sur les p
la taille d'une voiture. Mais plus de 85 % de ces mammifères, oiseaux et reptiles se sont éteints " peu après " l'apparition de l'espèce humaine, indique cette étude parue dans la revue Nature Communications
(10/06/10), Sylvia Gaus préconise l’euthanasie de tous les oiseaux infectés, qui pour elle n’ont que peu de chances de survie une fois réintroduits dans leur milieu naturel. Selon Anne-Laure Dugué, « même
le voir - serait comprise entre 0,84 et 1,11 hectares ; celle d'un chat, de 0,15 hectare, soit un peu moins qu'une Golf Volkswagen ; de 0,014 hectare pour le hamster, soit seulement deux fois moins qu'un [...] félines des 10 premiers pays propriétaires de chats, il faudrait une surface de 400 000 km 2 - soit un peu moins de la superficie de la France, le plus grand pays d'Europe - pour pouvoir satisfaire aux besoins
Jim est un chien crasseux, un peu myope et très chanceux: il vit dans un musée! Distribuer le courier, rendre visite aux œuvres d'art, lire dans la bibliothèque... Il est aussi très occupé. Quand le directeur
Nous cherchons Bêtise qui a été adoptée avec son frère. Elle est noire et blanche avec un ventre un peu tombant.
étatiques et non gouvernementales, les orangs-outangs de Bornéo - dont la population est estimée à un peu plus de 100.000 actuellement - sont désormais "en danger critique", soit la dernière étape avant l
secret d’une hibernation réussie et la rude patience de la mère envers ses oursons. Mais nous avons peu à peu détruit le lien qui nous unissait à notre frère de la forêt. Rémy Marion invite le lecteur à ré
ours polaire, qui pèse à l'âge adulte jusqu'à 500 kg, est une espèce protégée dont il ne reste qu'un peu plus de 20.000 spécimens au total dans l'Arctique. Il est menacé notamment par le réchauffement climatique
leur technique de chasse, qui consiste essentiellement à attendre la proie, les conduisait à dépenser peu d'énergie pour se nourrir. Ou encore qu'ils pouvaient ralentir leur métabolisme lorsqu'ils n'attrapaient