Fondation 30 Millions d'Amis

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La Ferme des Aubris

La Ferme des Aubris, un havre de paix pour les équidés maltraités ou abandonnés

Le refuge de la Tuilerie

Refuge "la Tuilerie" un havre de paix pour les animaux sortis de l'enfer

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Adoption

32 cockers rescapés de l’horreur recherchent des familles d’accueil

La Fondation 30 Millions d’Amis recherche activement des familles d’accueil pour 32 cockers retirés à une éleveuse.

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32 cockers attendent des familles d'accueil. Cliquez sur les photos pour les agrandir. Ils ont vécu le pire et sont prêts pour le meilleur. Depuis décembre 2015, 32 cockers détenus dans de très mauvaises conditions à Peyrat-le-Château (87), sont soignés et choyés par la Fondation 30 Millions d’Amis au refuge de la Tuilerie, en Seine-et-Marne. Ces animaux n’ont jamais connu la chaleur d’un foyer. Ils ont été affamés, plongés dans le noir et entassés dans des cages de transport, des camionnettes ou des voitures. Aujourd’hui, leur état de santé permet à la Fondation 30 Millions d’Amis de les placer en familles d’accueil, en attendant le procès de leur propriétaire qui statuera définitivement sur leur devenir. Si vous êtes intéressé, contactez le refuge par courriel latuilerie[at]30millionsdamis[.]fr.

Des amours de chiens !

Parmi ces adorables toutous âgés pour la plupart de moins d'un an et pour certains de 4 à 11 ans, toutes les couleurs de robes sont représentées (crème, marron, noir…). Compte-tenu de leur passé douloureux, il leur faudra un peu d’éducation et surtout beaucoup de douceur et de patience pour leur faire retrouver confiance en l’Homme. « Toutefois, ils sont sociables avec les autres chiens et certains se sont même habitués aux chats ! » précise la responsable du refuge de la Tuilerie.

Bis repetita ?

En 2010, la Fondation 30 Millions d’Amis intervenait déjà dans cette commune à la demande des autorités pour saisir 150 cockers détenus dans des conditions similaires. Les animaux n’avaient aucun accès à l’eau ni à la nourriture, souffraient de maladies diverses et d’infections aux yeux et aux oreilles. Leur propriétaire avait été reconnue coupable de mauvais traitements et condamnée en 2013 par la cour d’appel de Limoges. L’enquête devrait déterminer s’il existe un lien entre les deux affaires.