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La discussion du prochain plan loup donne "un peu d'espoir" aux éleveurs

Les principales organisations agricoles expriment "un peu d'espoir" après une réunion de travail sur le futur plan loup 2013-2017 qui pourrait, selon elles, opter pour "une diminution rapide" des prédateurs de leurs troupeaux.

PARIS, 21 déc 2012 (AFP) - Les principales organisations agricoles expriment "un peu d'espoir" après une réunion de travail sur le futur plan loup 2013-2017 qui pourrait, selon elles, opter pour "une diminution rapide" des prédateurs de leurs troupeaux. Un groupe de travail a réuni le 19 décembre la profession agricole et l'Etat autour du futur "plan loup" 2013-2017 après une première version (2008-2012) aux résultats jugés "catastrophiques". "Les pouvoirs publics semblent enfin disposés à entendre les arguments des éleveurs et à modifier la réglementation afin de mettre en oeuvre une gestion efficace de la population de loups", écrivent vendredi les principaux syndicats agricoles - Fédération nationale des syndicats agricoles (FNSEA), Jeunes agriculteurs (JA), Fédération nationale ovine - et Chambres d'agriculture dans un communiqué commun. "L'ensemble des participants se sont entendus sur l'objectif de diminution rapide et conséquente de la pression de prédation sur les troupeaux qui est arrivée à un niveau totalement insupportable", estiment les participants en plaidant pour "des tirs de défense plus aisés à mettre en oeuvre et plus efficaces pour protéger les troupeaux". Pour les éleveurs, le bilan du plan loup, censé permettre la cohabitation du loup avec l'élevage est à ce jour "catastrophique", estiment les organisations qui rappellent que "rien qu'en 2012, le loup, aujourd'hui présent sur près d'un tiers du territoire français, aura tué 5.000 brebis et coûté plus de 10 millions d'euros aux contribuables".