Fondation 30 Millions d'Amis

Fondation 30 Millions d'Amis
Faites un donFaire un don

La Ferme des Aubris

La Ferme des Aubris, un havre de paix pour les équidés maltraités ou abandonnés

Le refuge de la Tuilerie

Refuge "la Tuilerie" un havre de paix pour les animaux sortis de l'enfer

 €

Votre don ne vous coûte que
XXX après réduction fiscale

Actualités

"Les géants du Tsavo", un orphelinat redonne goût à la vie aux éléphanteaux (diffusion le 6 février sur France 2)

L'éléphanteau erre seul dans la savane, sa mère a été tuée par des braconniers et des soigneurs le capturent ensuite pour le conduire dans un orphelinat pour bébés pachydermes : le documentaire "Les géants du Tsavo", présente un centre au Kenya où les animaux traumatisés reprennent goût à la vie.

PARIS, 1 fév 2011 (AFP) - L'éléphanteau erre seul dans la savane, sa mère a été tuée par des braconniers et des soigneurs le capturent ensuite pour le conduire dans un orphelinat pour bébés pachydermes : le documentaire "Les géants du Tsavo", présente un centre au Kenya où les animaux traumatisés reprennent goût à la vie. Ce 52 minutes, réalisé par David Perrier, émouvant, drôle mais aussi bouleversant, qui sera diffusé sur France 2 le 6 février à 16h25 est l'un des volets de la série "Les orphelins du paradis". La journaliste Olivia Mokiejewski participe au sauvetage de Kitirua, un éléphanteau femelle d'un an et demi orpheline, transportée en voiture puis en avion au centre "David Sheldrick Wildlife Trust" dédié aux derniers géants terrestres que dirige Daphné Sheldrick, depuis 30 ans. "Sans nourriture, ni lait maternel, le bébé de 500 kg est condamné à une mort certaine d'autant que c'est une proie facile pour les lions", relate Olivia Mokiejewski. Pour l'éléphant, la famille est essentielle à son bon équilibre. Seul, il peut se laisser mourir. Au centre, les bêtes vivent donc en groupe. Elles sont bichonnées jusqu'à l'âge de deux ans par les vingt soigneurs qui font office de véritables nounous. Toutes les trois heures, les éléphanteaux reçoivent leur biberon d'un litre et demi qu'ils ingurgitent en quelques secondes. "Il faut leur apprendre à couper le cordon car ils doivent retourner au monde de la nature auquel ils appartiennent et non au monde de l'homme", estime Joseph, soigneur en chef. Il s'occupe des animaux blessés ou traumatisés "comme de ses propres enfants". "Les éléphants sont des animaux humains", dit-il.Vingt ans après l'interdiction du commerce international de l'ivoire, les éléphants continuent d'être massacrés par les braconniers. Chaque jour en Afrique, une centaine d'éléphants sont tués pour ce commerce illégal destiné aux pays asiatiques où une défense d'éléphant s'achète quelque 70.000 euros.