Fondation 30 Millions d'Amis

Fondation 30 Millions d'Amis
Faites un donFaire un don

La Ferme des Aubris

La Ferme des Aubris, un havre de paix pour les équidés maltraités ou abandonnés

Le refuge de la Tuilerie

Refuge "la Tuilerie" un havre de paix pour les animaux sortis de l'enfer

 €

Votre don ne vous coûte que
XXX après réduction fiscale

Emission

"Charlotte, une véto dans la savane" : une vie dédiée à la faune sauvage (diffusion le 25 décembre sur TF1)

En jean, coiffé d'une casquette, une femme arme son fusil d'un anesthésiant 1.000 fois plus puissant que la morphine et tire sur un rhinocéros depuis un hélicoptère : "Charlotte, une véto dans la savane" présente une vétérinaire d'Afrique du Sud, protectrice de la vie sauvage.

PARIS, 22 déc 2010 (AFP) - En jean, coiffé d'une casquette, une femme arme son fusil d'un anesthésiant 1.000 fois plus puissant que la morphine et tire sur un rhinocéros depuis un hélicoptère : "Charlotte, une véto dans la savane" présente une vétérinaire d'Afrique du Sud, protectrice de la vie sauvage. Ce documentaire de 30 minutes qui sera diffusé sur TF1 le 25 décembre à 13H15 a été réalisé par Loraine Canayer et Sylvain Lepetit pour le magasine "Reportages". Depuis six ans, cette jeune française de 32 ans, Charlotte Moueix, une des meilleures spécialistes de la faune sauvage et son compagnon John, pilote d'hélicoptère, survolent la zone de Kwaeleloop dans les réserves africaines pour soigner les animaux et aider les éleveurs. Le rhinocéros, une espèce menacée de disparition, fait l'objet de toutes les attentions de la jeune femme. Après avoir endormi l'animal pesant plus de 1.000 kilos, elle lui implante une puce électronique dans une corne afin de l'identifier et de pouvoir suivre son évolution. L'hélicoptère se pose au coeur de la savane près d'un autre rhinocéros. Mais celui-la n'a pas besoin d'être endormi, il a été tué par des braconniers. "Une scène malheureusement devenue banale", raconte Charlotte.Des groupes criminels organisés lui ont coupé les cornes à la tronçonneuse, comme aux 300 animaux tués depuis le début de l'année. Outre son métier de soigneuse, Charlotte mène bénévolement un combat avec la police contre le trafic de corne à destination des pays asiatiques et des Emirats arabes. Ce trafic d'animaux décime des troupeaux entiers de rhinocéros. Les cornes se vendent quelque 30.000 euros le kilo."On a envie d'essayer de les sauver parce que, si on ne fait rien probablement que dans dix ans, le rhinocéros aura disparu en Afrique", explique l'aventurière, vêtue de jean et coiffée d'une casquette.