rongeurs, oiseaux) sont plus nombreux dans des paysages intensément modifiés par les Hommes. Des résultats qui selon eux prouvent la nécessité de changer la façon dont l'humanité exploite les terres, pour [...] et la persistance ou l'augmentation d'autres ", a commenté Rory Gibb, chercheur à l'UCL. " Nos résultats montrent que les animaux qui persistent dans les environnements dominés par l'Homme sont ceux qui
traces dans la neige et réalisé des prélèvements de poils et d'excréments aux fins d'analyses. "Les résultats, rendus ce jour, permettent de confirmer que l'animal" aperçu fin janvier "est un loup", indique
exposées à des concentrations d'atrazine telles qu'on les retrouve dans certains milieux naturels. Résultat : 90% des grenouilles exposées à l'atrazine présentaient des niveaux de testostérone bas, une diminution
auteurs de l'étude, Frédéric Jiguet, du Muséum national français d'Histoire naturelle (MNHn). "Les résultats montrent que le nombre d'espèces touchées de manière négative est presque trois fois plus grand
tion de l’évaluation des projets, la transparence de l’information sur les procédures et leurs résultats, dans l’esprit véhiculé par la directive européenne de 2010. Un tel changement demande une évolution
Chaitanya Koduri, conseiller scientifique chez PETAIndia. Ces techniques fournissent d'excellents résultats et des analyses conformes à la réalité ». Quant aux défenseurs des animaux, ils ne manquent pas
(Eudyptes chrysolophus) en attachant à leur patte un minuscule appareil de détection électronique. Les résultats de cette étude menée par des chercheurs du CNRS ont été publiés dans la revue britannique Biology
Nord (2003), le taux de survie des oiseaux secourus avait atteint 70 %. « On obtient de très bons résultats lorsqu’on peut récupérer les oiseaux dès les premières heures », confirme Anne-Laure Dugué. Les
rien améliorer le sort des requins : « L’Europe a déjà interdit la vente de peaux de phoque. Le résultat, c’est que le Canada vend deux fois plus de peaux à la Chine qu’auparavant » rappelle-t-il. Au-delà
pour quantifier les effets de la consanguinité sur la démographie des ours des Pyrénées, avec des résultats complets attendus fin 2026. Ce risque pousse les associations de défense de l'ours à réclamer à