« Beaucoup pensent qu’il faut aller loin pour avoir la chance de photographier des animaux, s’étonne celle qui travaille dans le milieu des brocantes. Paradoxalement, nos enfants connaissent mieux les éléphants ou les lions que les animaux qui nous entourent comme les chevreuils ou les oiseaux. Or, si on prend le temps de regarder autour de nous, on s’aperçoit qu’il y a de la beauté à foison. Même en Île-de-France, les animaux prospèrent ». C’est d’ailleurs lors d’une rencontre fortuite avec un renard, « l’emblème de la photographie animalière », qu’Agathe décide d’en faire son deuxième métier. « Dans une ancienne friche près de chez moi, je vois deux grandes billes noires et oranges en train de me fixer, décrit la Francilienne. C’était bouleversant. C’est là que j’ai commencé à m’intéresser à son rôle écologique malgré les efforts de chasseurs pour le dénigrer. J’avais mis le doigt dans l’engrenage. Trois ans plus tard, je continue d’apercevoir cette famille de renards comme si c’était un rendez-vous. »
Emilia CLÉ 14/09/2020 à 20:55:52
Ça commence a être de plus en plus connu ça va sensibiliser les plus jeune et ça va par chance devenir « à la mode » bravo!!!
AnneV 19/08/2020 à 18:09:54
Si les activités humaines pouvaient être en concordance totale avec la nature !!!! Il faudra sans doute encore un peu plus de catastrophes pour que nous réagissions !!!! Et encore ! Les accrocs du dollar trouveront toujours un moyen pour contrecarrer ceux qui veulent préserver !! Pitoyable !